Une fois n’est pas coutumes, Aloïs s’ennuyais. Il venait pourtant d’arriver au chalet de la station de ski – qui se trouvait dans l’archipel nord – on aurait put croire qu’un peut d’action lui plairait après ses plusieurs heures en position assise. Une position très inconfortable, tous véhicule de transport qui soit, n’était jamais très agréable, une fois que l’on franchissait la barre des deux heures de trajet.

Mais non, il ne participait pas à l’agitation de ses camarades, qui s’organiser avec les enseignant pour être répartis avec leurs groupes d’amis, dans les petits chalets. Il trouvait cette agitation superflu, le plus important n’était-il pas qu’il a un lit dans lequel dormir ? Peut-être qu’il devrait revoir ses critère à la hausse, s’il voulait semblait un peut plus « normal ». Quoi qu’il en soit – et si ses calculs étaient juste – deux personnes se verraient attribué un chalet pour eux seul. Il aimerait être une de ses deux personnes, être loin de l’agitation et excitation de ses camarades.

Ses dernier était si excité qu’il avait oublié qu’il était la pour étudier… il ne savait plus trop, il n’avait pas écouté se que le professeur disait – comme s’était souvent le cas. Après tous il était connu pour dormir en cours ou bien observer le paysage, et ça s’était quand il allait en cours. Il oubliait souvent – volontairement – d’aller dans ceux-ci.

Il poussa un long soupire.

« - Faite que je puisse être seul. » Chuchota-t-il.

« - Tuan...Qui est ce? »

Il releva la tête à l’entende de son nom, trouvant l’origine de la voix – qu’il trouvait pas mal enfantine – il fronça les sourcils. Est-ce qu’on lui avait caché qu’un enfant participé au voyage, et qu’il serait de corvée de baby-sitting. Grimaçant il s’approcha, n’ayant pas vraiment envie de fournir l’effort d’indiqué qu’il était Aloïs Tuan. Ses en se rendant auprès de l’enfant, qu’il comprit – grâce au murmure peut discret de ses camarades – que le jeune homme était visiblement un de leurs professeur et qu’il allait partager la dernière chambre avec lui.

*Au moins je n’aurais pas à partager de chambres avec ses êtres bruyant et excité… enfin si ce professeur ne l’est pas tous autant.*

Un autre soupire lui échappa.

Il n’avait jamais été attentif en cours, et pour être plus précis, il n’était même pas sur d’être déjà allé au cours qu’enseigné le jeune homme. Il l’aurait peut-être reconnue au timbre de la voix, si cela avait été le cas… sauf s’il dormait.

*Rrrah, je me prends juste la tête pour rien. De toute façon une personne à supporter, vaux mieux que trois.*

Une fois arrivé au côté du petit professeur, il se demanda s’il devait au moins se présenter. Ou, du moins lui signifié qu’il était la personne qu’il avait appelé. Mais il n’était pas sur de ça, après tous les professeurs n’était pas censé avoir un trombinoscope ou quelque chose comme cela, alors il devait connaître ça tête. Ce n’était comme s’il s’était amuser à en changer, les cheveux était peut-être un peu plus long, il n’avait pas fait l’effort d’aller au coiffeur.

Il devrait tous de même parler à un moment ou un autres, ne serait-ce que pour savoir qu’elle chambre lui était attribué, puisqu’il n’avait pas pris la peine de s’approcher du groupe d’élève pour savoir ou on l’avait placé.

« - Vous m’avez appelez. » Fit-il d’un ton trainant, tous en passant sa main dans ses cheveux.

L’autre lui indiquerais peut-être le chemin de leurs chambres ainsi, et il n’aurait pas besoins de parler plus. S’il se faisait discret on pourrait peut-être l’oublié dans la chambres pour les deux prochains jours à venir et il pourrait peut-être dormis en attendant de retourner au pensionnat. Il jeta un coup d’œil au petit professeur, se disant que finalement sa ne serait peut-être pas évident.

Le restes des élèves était à présent partis rejoindre leurs chambres pour s’installer, et certainement continué à parler avec entrain du programme de ses deux prochains jours. Il avait entendu le dernier groupe de fille passez en gloussant quelque chose à propos de réunir un enfant professeur et un homme trop idiot pour abandonner les études. Il n’avait jamais pris la peine de leurs expliquer qu’il ne pourrais sortir de l’établissement qu’une fois ses examens passer et réussi, comme le souhaitais ses cher et tendre parents. Il serait sûrement la encore pour quelque dizaine d’année à se rythme.

Aloïs se contenta de suivre le petit professeur, dans un haussement d’épaule, alors que celui-ci ne s’était même pas donner la peine de lui adresser la parole. Mais il n’allait pas s’en plaindre, au moins de cette façon il n’était pas obliger d’entretenir la conversation. C’était tellement ennuyant de devoir converser avec une tiers personne lorsqu’on ne le désirait pas, mais – au grand damne de ses parents – il était quelqu’un de suffisamment polie pour ne pas offenser les gens en ne leurs répondant quoi… bien que parfois il lui arrivé de ne pas répondre.

Au bout de plusieurs minutes, ils traversèrent le seuil du petit chalet. Sous l’injonction du petit professeur il ferma la porte, poussant un soupire fatigué. Il aurait put tous bonnement traverser la porte et trouver la chambres, sa aurait été moins épuisant. Mais il imaginait que le professeur n’avait pas son don pour passer à travers les murs – ou toute surface solide. En tous cas il devait bien admettre que le chalet était très beau, il apprécierait d’y passer quelques jours, à paresser tranquillement devant un feu de cheminer… ou sous une couette bien chaude. L’hiver n’avait que cette attrait après tous, profiter de la chaleur et du confort intérieure, alors que l’on voyait l’extérieure recouvert d’un voile de neige et d’une légère brume glacial.

Reportant son regard vers le professeur – dont il ignorait toujours le nom. Ça ne serait sûrement pas très bien vue de le demandé maintenant, non sûrement pas. Il pouvait le voir s’installer sur le canapé, et se demandais si lui aussi pouvait se permettre de se détendre, mais plus encore de gagné la chambres et laisser la le professeur. Alors qu’il s’apprêtait à monté rejoindre la première chambre qui passait, il entendit son « colocataire de voyage » soupirer, et prendre une attitude plus ou moins fermer avant de s’exclamer.

« - Tuan, tu vas préparer le dîner de se soir ! Et surtout fait du bon travail, je comptabiliserais une note à ta moyenne si celui-ci me convient.»

Ses yeux s’arrondir comme des soucoupes alors qu’il comprenait se que venait de lui demander l’autre. Seul le début de la phrase l’avait vraiment fait réagir – faire la cuisine – il se moquait bien de se qui serrait afficher sur son bulletin scolaire. En faite, il n’y avait jamais rien écrit, à part peut-être quelque remarque lasse sur son absentéisme et ses piètres résultats. Mais revenons à nos mouton : cuisiner. Il ne s’avait pas cuisiné, il était même plutôt extraordinaire qui ne soit pas mort, pour cause « flemme d’aller acheter à bouffer » ou autres chose du même genre. Alors faire un repas, il n’était pas sur de savoir faire – non il savait qu’il ne savait pas faire, mais aussi il n’était pas sur – même s’il essayer – de faire quelque chose de comestible.

« - Je ne suis pas sur que se soit une bonne idée. » Fit-il en frottant lascivement ses cheveux en regardant son interlocuteur.

Il n’était pas bien sur que se dernier accepterais cette excuse, mais il n’avait vraiment jamais approché une cuisine de sa vie, ou alors juste le frigo pour son lait du matin. Ça se limitait à ça. Dans un soupire, il observa la cuisine d’un œil critique, il n’était même pas sur de pouvoir allumer de quoi chauffer les aliments sans se brûler. Alors fait cuir quelque chose de comestibles.

« - Enfin, je veux dire… ça risque de ne pas êtres comestible si j’essaye. »