Promenade dans le jardin [pv la prof]

¤ prince de glace ¤ Messages : 59 Date d'inscription : 03/10/2010

Je ne dormais que peu, j'étais insomniaque depuis de longue années, il faut dire que dés que je fermé les yeux et m'endormais, je faisait d'horrible cauchemar, enfin c'était toujours le même. Mon père, le visage déformer par la hargne me lancés des insultes, puis sa main se levé, il me frapper encore et encore, il eut comme un noir et je voyais me père de dos, un couteau à la main... Un couteau ou tomber des gouttes de sang. Un gros plan se faisait sur le corps de ma mère morte derrière mon père, finalement, je vois ce dernier se tournée vers moi, la face ivre de sang... Je me réveille a chaque fois en sursaut dans mes draps, je suis toujours tremper de sueur et l'idée de me recoucher me parais absurde.

Ce matin n'avais pas échapper à la règle, je venais tout juste de me réveiller en sueur, j'étais seul dans ma chambre, je regarda autour de moi avant de me levée et de prendre une douche bien froide. Je regarda mes cicatrice, il y en avais partout, des plus ou moins horrible, la pire était celle qui fendais mon dos en deux, elle était terriblement impressionnante, mais personne ne l'avais encore vue. Je pris rapidement ma douche, ne prenant apparemment aucun plaisir à ça, je m'habilla sans l'ombre d'un sourire ou d'un signe que j'étais de bonne humeur ou tout simplement que j'éprouvais quelque chose. Je me coiffa puis m'habilla de mes habituelle vêtement noir, je mis mon long manteau et me coiffa très rapidement.

Il était encore très tôt, le ciel était encore oranger ma nouvelle école semblait endormis et calme, il n'y avais aucune bruis. Le bruis de mes pas viens rompre le silence presque religieux du couloir. Je longea ainsi toute les chambre puis pris les escaliers. Je failli à plusieurs reprise me perdre mais je trouva finalement le hall d'entrée. Je me dirigea sans un regard pour ma nouvelle école vers l'endroit ou je passait le plus de temps: le jardin. J'étais toujours assis la-bas contre un arbre à lire, on pouvait même dire que j'appréciais cette endroit, ce qui était beaucoup pour moi. Je m'assis comme a mon habitude au pied d'un des arbres et m'y adossa pour lire. Je bailla, tout de même fatiguer par les longue nuit que je vivais, je frotta les yeux et me concentra sur mon livre. Les bruis de pas qui retentirent soudainement me firent levée la tête de mon roman. J'aperçus une silhouette, je grommela, même ici, pas moyens d'être tranquille.

Messages : 50 Date d'inscription : 15/10/2010

La nuit que je venais de passer serai presque bien si mon appétit de sang ne m'avait pas réveiller mais bon, j'aurai du en boire plus souvent si je ne voulais pas que ça arrive dans d'autres moments. Par exemple au milieu d'un cours ça aurait été affreux, pas pour moi mais pour les élèves. Quand je fut totalement réveiller, je me levai, pris ma douche, puis je partis à la recherche d'une victime pour mon petit déjeuner. Je traversais les couloirs silencieux lentement pour percevoir qui serai le meilleur à croquer. Malheureusement je ne trouvais personne qui me corresponde. Le sang que je me régalai à boire est celui des menteurs et/ou celui des gens qui ne se sente pas bien dans leur vie. Ce qui est bien avec ce sang là, c'est que beaucoup de gens se sente mal. Je fit d'autres aller retour dans l'établissement sans trouver LA personne qu'il me fallait. Je m'arrêtais pour regarder a travers une fenêtre, le soleil allait se lever dans une demi heure au minimum, il était tôt, personne n'était réveillé. Enfin, normalement. Quelques oiseaux passèrent avec lenteur dans le ciel. La rosée avait déposé une légère pellicule d'eau sur les fleurs que je pouvais voir dans un baque à fleurs. Je repris ma progression dans les couloirs désert. Je me retrouvais devant une grande porte fermé, je la poussai du plat de la main, et elle s'ouvrit dans un grincement de vieux bois. Je pouvais voir l'extérieur de l'école désormais. La façade du bâtiments était un peu vieille mais ça allait. Je repensais alors au cours que j'avais après, j'avais fini de le préparé quelques jours auparavant. J'espérais que les élèves ne serai pas trop pénible car quand je n'étais pas rassasié de sang je me mettais facilement en colère. Mais depuis quelques temps j'arrivais à mieux me contrôlais mes sentiments. Je pensais aussi que si je ne trouvais pas ce que je chercher alors je devrais manger comme les autres, des aliments, ces choses n'ont pas de goût et en plus ça abime les dents.
Je marchais alors sans but précis, je me retrouvais rapidement dans le jardin. Seulement je ne pensais pas trouver ce que je cherchais. C'est alors que je vis une silhouette sous un arbre. Je m'approchais avec lenteur car je n'était pressé vu l'heure matinal qu'il était. Je ne m'attendais pas vraiment à ce que un élève se trouve ici.

Bonjours dis je.

¤ prince de glace ¤ Messages : 59 Date d'inscription : 03/10/2010

Avidement, il fallait bien que quelqu'un vienne me parler. Je soupira très fortement pour faire comprendre à la demoiselle qu'elle me dérangé et que je ne comptait pas du tout discuter avec elle. Peut être que je n'aurait pas réagis pareille si j'avais sus qu'elle était prof, non je pense que j'aurais était encore plus désagréable. Moi qui était avant un si gentil garçon, j'étais devenue un garnement, un petit brute qui n'avais aucune règle. J'utilisais toujours la violence, cette violence qui cacher finalement le garçon timide qui n'avais que trop vécus et qui ne savait plus comment vivre, j'étais malheureux mais ça c'était quelque chose que je n'était pas près d'accepter.

Je détacha doucement les yeux de mon roman pour fixer la jeune fille qui se trouvais devant moi. Elle semblait plus âgés que moi et avais une très forte poitrine. Elle avais de très long cheveux d'une couleur que j'avais du mal à nommé. Je trouve que finalement, ce qu'il y avais de plus beau chez elle, c'était ses yeux écarlate, ils étaient d'une beauté a vous coupé le souffle. Je finit par ranger mon livre, la fixant de on regard aussi froid que mon pouvoir.

Qu'est ce que tu veux ? Je n'ai pas envie de perdre mon temps avec une compagnie aussi futile que la tienne.. Tu m'empêche de lire.... Alors du vent, je ne suis pas très patient alors si tu veux pas qu'on t'annonce qu'on doit t'amputer d'une jambe va embêter quelqu'un d'autre.

je lui fit signe qu'elle devait partir. Je menacer toujours les gens, et je ne mettait que très peu mes menace à exécution. Surement parce que les gens préférer ne pas avoir affaire à moi. Mais je risquait grandement de lui glacer une jambes si elle insister et resté devant mes yeux. J'étais toujours très calme et froid ce qui destabilisé la plupart des gens.

Messages : 50 Date d'inscription : 15/10/2010

Je vis le jeune homme me regardai puis fermé son livre avec agacement. Comme cela ne m'étonnais pas je ne réagis pas à la remarque qui suivie:

Qu'est ce que tu veux ? Je n'ai pas envie de perdre mon temps avec une compagnie aussi futile que la tienne.. Tu m'empêche de lire.... Alors du vent, je ne suis pas très patient alors si tu veux pas qu'on t'annonce qu'on doit t'amputer d'une jambe va embêter quelqu'un d'autre.

Ses yeux, au premier a bord, donner une impression véritable de menace mais en y regardant de plus près je pus y discerner quelques choses que je ne comprenais, enfin pour l'instant. Pour une fois, on me parlez comme si je n'étais pas prof ce qui me plus, après avoir analyser le ton de la voix et les menaces du jeune homme, je le regardai dans les yeux avec un regard tout aussi froid que le sien. Puis je m'assis à coté de lui. De façon a ce qu'il doive obligatoirement tourné la tête pour me regardai. Ensuite je regardai le ciel il changeait lentement de couleur. Les oiseaux quant à eux commençaient à chanter de leur voix nasillarde. Je pris ensuite la parole.

Je ne veux absolument pas te tenir compagnie, tu es juste sous l'arbre et c'est à l'arbre que je veux tenir compagnie. De toute façon, ce livre tu peux le lire ce livre, je ne compte pas te parler si tu ne le désire pas.

Je vis les cheveux du jeune rebelle se soulever à cause du vent, j'avais pu l'observer avant de m'assoir, il était mignon. Je ne pensais pas qu'il était vraiment comme ça au fond de lui, car les rebelles de sont genre ne lisent pas sous les arbres. Mes cheveux à leur tours se soulevèrent et ondulèrent en rythme. L'herbe était douce et légèrement humide, mais pas assez pour vous trempé les fesses.

¤ prince de glace ¤ Messages : 59 Date d'inscription : 03/10/2010

Je grommela, il fallait en plus elle s'installe a cotés de moi, si ce n'était pas me chercher ça. En faite, c'était a se demander si elle ne demander pas a ce que je lui fasse mal, ce que j'allais faire. Je la regarda du coin de l'œil, surement allait telle trouver ça anodin mais en faite, je me concentrais. J'étais plutôt clément avec elle, elle avais énormément de chance, bien qu'elle appréciais pas cette chance je le pense. Je regarda entièrement la jeune fille, n'épargnant aucun détail avant de trouver ce que je pouvait lui faire. OK alors elle voulais rester.... elle aller y rester un bon moment. Je finit par faire gelée ses chaussures pour les faire coller au sol, glaçant en même temps ses chaussette qui collais maintenant a ses chaussure et a ses pieds... sa devait être plutôt froid mais bon, j'avais était gentil, je ne lui avais pas glacer directement les pieds. Je me leva finalement, me dépoussiérant avec un air suffisant et m'éloigna un peu d'elle avant de dire:

Qu'elle chance... tu va pouvoir y rester a ton chère arbre et peut être même longtemps

Je m'installa un peu plus loin, de façon a se qu'elle me voyent bien et je rouvris mon livre. Je ne fit tout d'un cup plus attention a rien autour de moi, j'étais juste concentrer sur ma lecture, je ne savait même plus ce que faisait la jeune fille. D'ailleurs, ce qu'elle faisait m'importait peu, peu de chose m'interessais en faite, je me demander souvent pourquoi je continuer a vivre. Surement pour ne pas faire plaisir a mon chère père;

Messages : 50 Date d'inscription : 15/10/2010

Je venais de fermé les yeux pour mieux ressentir les émotions du jeune homme quand je ressenti qu'il n'appréciais pas forcement que je vienne m'assoir ici, puis la glace m'empêchais
de bouger les pieds. Mes chaussures ensuite mes chaussettes/bas furent glacés par le jeune homme. Il dit ensuite:

Qu'elle chance... tu va pouvoir y rester a ton chère arbre et peut être même longtemps

Cette personne m'intéressait, enfin son esprit et son histoire, je gardais les yeux fermés même quand il quitta l'endroit pour s'assoir sous un autres arbre. Je sentis le vent chaud du matin caressait mon visage. L'écorce de l'arbre n'était ni trop rugueuse ni trop dur. Je me sentais bien avec la nature. Mon envie de sang m'avait quitté pour l'instant. L'esprit du jeune homme était tourmenté, je le savais grâce à mes dons. Je ne lui envoyais pas pour autant de vague d'apaisement mais je continuais à sonder son coeur.
Le froid sur mes pieds ne me gênait pas car les vampires ne ressentent pas le froid comme d'autres.

Qu'est ce que le bonheur? dis je d'une voix basse et douce, presque pour moi-même mais assez haut pour qu'il l'ai entendus. As tu déjà ouvert ton coeur?

Cette dernière phrase, je l'avais dis, cette fois, pour lui. Je ressentais qu'il souffrait mais il ne c'était jamais ouvert.
L'herbe ondulait calmement au rythme du vent, tout comme nos cheveux. Le bonheur, je pensais alors à ce que cela voulait dire réellement. Personne ne peut obtenir le vrai bonheur, il y a toujours l'ombre du malheur qui fait pair avec ce dernier. J'aimais l'ombre du bonheur, est ce dû à ma race ou à mon caractère? Je n'avais pas vraiment de réponse. Je faisais beaucoup pour essayer d'apprécier le bonheur, d'être gentille, en bref d'être le contraire de moi-même. Cela m'est finalement impossible.

¤ prince de glace ¤ Messages : 59 Date d'inscription : 03/10/2010

J'étais concentrer sur ma lecture avec mon petit air concentrer que je prenait dés que je commençait à lire. Quand je lisait, je me plongeait dans un tout autre monde, plus beau, quand je lisait, je n'étais plus moi , je n'avais plus cette vie ni ces cicatrices. J'étendis mes ailes pour me détendre un peu sans pour autant lâcher mon livre du regard. Soudain je l'entendit parler, je ne compris pas trop la 1er phrase mais la deuxième se grava dans ma mémoire: "As tu déjà ouvert ton cœur?". Je n'arrivais soudainement plus à me concentrer sur le roman. Comment pouvait elle savoir ce genre de chose ? C'était des choses que je me cachais à moi même. Je ne comprenais pas comment elle avais pus voir à travers mon costume, voir a travers le masque de férocité que je laissait voir à tout le monde. Je finit par lâcher mon livre et fixait la jeune fille. J'étais trop étonner pour pouvoir jouer mon rôle devant un fille qui semblait avoir toucher quelque chose, en faite, j'étais tellement troublé que je n'arrivée plus à réagir du tout.Des dizaine de minute passèrent sans que je bouge, je la regardais étonnée puis je repris mon rôle habituelle. J'haussa les épaules en lui disant que je ne comprenais pas de quoi elle parlé. Je me remis a ma lecture, ou du moins je fit semblant car mon coeur battait trop fort pour que je lise. Je caressa doucement mes ailes toute douce et regarda du coin de l'œil la demoiselle pour voir comment elle réagissais.

Messages : 50 Date d'inscription : 15/10/2010

J'attendais qu'il me réponde, il avait l'air vraiment étonné ce qui contrasté avec ce qu'il essayait de faire croire à tout le monde. Je remarquai ses ailes, elles étaient vraiment belles, elles avaient l'air soyeuse et douces. Le vent les fis légèrement bouger ce qui leur donnaient un air de sérénité. Je remis une de mes mèches de cheveux en place d'un simple revers de la main, que je maitrisais depuis longtemps maintenant. Il me dis enfin qu'il ne comprenais pas ce que je lui disais alors qu'il avait totalement compris. Je lui fit un sourire lasse. Puis il reprit son livre. Je le regardai d'un regard rempli de douceur et de gentillesse qui m'étonna moi-même car vu l'heure qu'il était et dans l'état de famine dans lequel j'allais plongé dans une heure ou au mieux deux. Mais je lui lassai encore quelques minutes avant pour ce reprendre de cette surprise puis je lui dis d'une voix douce et confiante à la fois:

Aime tu souffrir?

Cette fois encore, je lui posais une question. Je sentais qu'il souffrait profondément, je pouvais l'apaisé mais je ne pourrais pas l'aidé à ouvrir son coeur ce serai peut être pire. Je posais ma main dans l'herbe, elle était douce et humide à cause de la rosé matinal. Le soleil n'était pas encore levai, elle pourrai donc en profiter encore un moment.
Je voyais bien qu'il n'avait jamais parlé de ce qui lui empoisonnait le coeur. Ce mal était là depuis longtemps, ce qui rendait la tache plus difficile. Un oiseau passa au dessus de nous avec aisance et rapidité. Il avait un ver dans le bec, il allait surement nourrir sa famille. Je me demandais alors si le mal du jeune homme était dû à la famille comme venait de me faire penser l'oiseau.

¤ prince de glace ¤ Messages : 59 Date d'inscription : 03/10/2010

Cette question et totalement d*bil*.... A moins que tu te base sur le fais qu'il serrait possible que je sois sadomasochiste, mais je ne pense pas que ce soit la 1er pensait d'un jeune fille en voyant un garçon, du moins j'ose l'espérer pour vous. Je ne le suis pas, donc tu peut en conclure que je n'apprécie que peu la souffrance.

Mon cotés un peu je sais tout cassé fortement mon apparence de bad boy qui se foutait de ses études et qui répondait au prof. Mais en faite, si j'avais, parler un peu comme un 1er de la classe, c'était juste pour être agaçant. Je me remis a lire pour m'arrêta soudainement pour fixer la jeune fille. Je ne dit rien pendant quelque minute, la fixant de mon regard froid et sans sentiment. Quand on se plongé dans mes yeux, ce que peut de personne osé les faire vue leur froideur, d'ailleurs peu de personne savait analysé un regard, on pouvait s'apercevoir qu'en dessous de la froideur, il n'y avais plus rien, aucun sentiment comme-ci je n'avais pas conscience de ce qui se passait. Je lui demanda soudainement avec dans la voie une légère mauvaise humeur.

Compte tu me laisser lire ou j'attends que tu est posé toute tes questions d*bil* ?

Je posa mon livre, marquant la page qui n'était qu'un bout de papier blanc ou j'écrivais quelque mot parfois, des truck qui me sortait de la tête. Personne n'avais jamais lut ce que j'avais ecris, c'était personnelle et j'écrivais vraiment les seul choses que je ressentait, ça m'aidé a vidé mon esprit de tout ce qu'il l'empoisonner. Mon marque page n'était pas très gaie on pouvait voir les mots: meurtre, souffrance, monstre, laideur...

Messages : 50 Date d'inscription : 15/10/2010

Je l'écoutais me raconter ce qu'il voulait, en même temps qu'il parlait je pus mieux l'analyser. Puis je plongeai mon regard couleur sang dans le sien. Le sien était plutôt froid et cruel, mais ce qu'il y avait derrière aurai presque pu faire peur.Dans ce jeune homme, que tout le monde croyait être un bad boy, il y avait quelqu'un de plus intéressant. Ses connaissance était plutôt développé par rapport aux autres garçons de ce genre. Il devait vraiment caché quelque chose de terrible dans son coeur car je suis sur que si dans son enfance, quelque chose ce serai passé différemment il aurai pu être quelqu'un d'agréable et sympathique. Quand je repris le fil de ses paroles, il venait de dire:

Compte tu me laisser lire ou j'attends que tu est posé toute tes questions débiles?

Je lui souris, mais dans ce sourire on pouvait remarquer de l'amusement. Je remis ma jupe du plat de la main même si dans cette position il est difficile de la remettre correctement avec les deux pieds collés au sol mais cela ne me dérangea pas plus que ça. Je lui dis ensuite:

Je vais te reposer ma première question, as tu déjà ouvert ton coeur?

J'attendais sa réponse patiemment. Pendant ce temps, je remarquai qu'il avait dans son livre un marque page avec des mots d'écrit dessus. Il était trop enfoncé dans le livre pour que j'arrive à lire. Grâce à mon pouvoir de télékinésie, je réussis à le faire sortir juste assez pour lire, une fois que j'ai fini de lire, je le remis à sa place. Les mots qu'il y avait écrit dessus me plaisais même si cela faisait quelques années que je n'y avais pas pensé. En attendant je pensais qu'il pouvait rajouté: tortures. Cela était mon mot préféré pendant plusieurs années. Et je crois que passer à l'action par rapport à ce mot était ce qui me plaisait le plus.

¤ prince de glace ¤ Messages : 59 Date d'inscription : 03/10/2010

Apparemment ma méchanceté habituelle ne fonctionner pas sur elle car elle n'avais pas réagissait a aucune de mes tentative de recule, même pas le coup de la glace , c'était pourtant horrible mais non, elle n'avais eu aucune réaction, même pas un regard noir. Je ne la comprenais pas, j'avais pourtant montrer de la méchanceté et ma dangerosité alors pourquoi hurlait elle pas qu'on la libère, elle devais avoir froid non ? Au lieux de ça, elle me demanda si j'avais déjà ouvert mon cœur à quelqu'un, je la regarda et grogna, lui disant ainsi que je ne voulais pas répondre a ses questions, je faisait semblant de les trouver complétement nul mais au fond de moi, ça me troublé, j'avais vraiment envie intérieurement de lui répondre non et de fondre en larme mais je ne pouvais pas me le permettre, je ne devais montrer à personne mes faiblesses.

Je vois pas de quoi vous parler, je n'ai rien ouvrir dans mon cœur, alors maintenant, vous pouvez me hurlais dessus et me traité de tout les noms comme toute personne censés

Finalement cette routine de méchanceté me rassuré, je ne bougé pas mais j'avais vraiment envie de fuir cette fille qui en savait trop sur moi. Je resta collé a ma place mais c'était difficile et surtout, c'était même plus la peine que je tente de lire, je n'y arriverais pas.

Messages : 50 Date d'inscription : 15/10/2010

Mes pensés revinrent à une autre époque. Cette époque était si lointaine pour moi désormais. La tristesse me submergea pendant une seconde peut être puis je la fis disparaitre aussi vite qu'elle était venu. Je souris au vent qui caresser mon visage, qui faisait onduler mes cheveux à un rythme calme et lent. Ce tempo me fouettais le visage avec douceur. Mes doigts appréciaient le toucher de l'herbe encore mouillé par la rosé matinale. Je me rappelais alors que mes pieds étaient immobiles à cause de la glace qu'avait mis le jeune homme avec lequel je discutais. Enfin, si discuter était le bon verbe. Ce dernier m'avait dit qu'il ne voyait pas de quoi je voulais parler. Je savais très bien qu'il comprenait mais si, pour le moment, il ne voulait pas en parler il ne le ferai pas. Je lui fis un de mes plus beau sourire pour apaiser les tensions sans pour autant lui envoyer une vague d'apaisement.

Je n'aime pas hurler pour des choses aussi futiles mais je préfèrerais discuter si tu veux bien!

Je remis mon chemisier bien mal grès qu'il ne soit pas trop démis. Une mèche de mes cheveux me tomba devant les yeux, je la remis en place d'un revers de la main tranquillement.

Tu es dans cet établissement depuis longtemps?

Je repensais alors aux cours que je devrais assurer, mais pour l'instant le soleil n'était pas encore lever. Donc je ne m'inquiétais pour ça. Ce travail m'avais plu quand on me l'avais proposer et puis si cela ne me plaisait pas, je pourrai tout aussi bien, me délecter des élèves. Après tout, dans mon contrat, il n'y avait pas écrit que je ne pouvais pas.

¤ prince de glace ¤ Messages : 59 Date d'inscription : 03/10/2010

Je soupira, je n'était pas un pro de la parole et en faite, la discute n'étais pas une activité que j'appréciais, cela faisait combien de temps que je n'avais pas eu de réelle discutions avec quelqu'un ? Un très très long moment, en faite, je n'arrivais pas a me souvenir de quand c'était la dernière fois ou ma discutions ne s'était arrêter à: tire toi ou tu reconnaitra plus ton visage en te regardant dans le miroir. Quand je prenais le temps de réfléchir, je me disait que j'étais devenue le genre de personne que je n'aimais pas, je genre de personne qui petit m'avais cracher dessus. je me protégée ainsi, c'était peut être *diot mais c'était comme-ca. La demoiselle ne semblait vouloir abandonner, ne pouvait elle pas se taire au lieux de me posé tout un tas de question dont elle se foutait entièrement des réponses. Je la fixa un moment et elle eut énormément de chance que j'accepte de répondre:

j'en sais rien...

Enfin si on pouvait appeler ça une réponse, mais c'était déjà beaucoup pour moi. Je parlais jamais de moi alors c'était déjà un grand pas en avant. Je soupira et finit par fermer les yeux, finalement, ce n'était peut être pas si mal de se confier non ? Peut être que parler pour une fois serait agréable ? Non non non... Je ne devais pas, ça aurait était une faiblesse de ma part et je devais me montrer fort dans tout les moment. Cette fois-ci, sur que je devais apprendre a la jeune fille ce qu'était la douleur, je me leva et rangea mon livre.

Mais tu n'a pas a me poser des question.... Alors tu va fermer ta bouche avant que tu ne finisse à l'hôpital.

je ne passé pas souvent a l'acte, il fallait me troubler de beaucoup pour que je décide de faire vraiment mal. Je frappa la jeune fille et tapa sa tête à l'arbre avec violence. Je la regarde de tout mon haut avec aucun sentiments aparant, c'est cela qui faisait peur, on avais presque l'impression que j'étais une machine de guerre.

Messages : 50 Date d'inscription : 15/10/2010

Il rangea son livre. Le soleil se lèverai dans un certain temps mais je n'en avais aucune envie. Le royaume de l'ombre me tentais encore mais j'essayais de résister. Alors je le vis se lever avec un regard menaçant, si il croyait que cela allait me faire peur, il se tromper mais bon. Je vis un oiseau passer dans son dos comme ci il était effrayer par mon interlocuteur, qui était plutôt sinistre. Il se rapprocha de moi et dit:

Mais tu n'a pas a me poser des question.... Alors tu va fermer ta bouche avant que tu ne finisse à l'hôpital.

Je le regardai puis il me frappa la tête avec ce qu'il crus être violence peut-être mais cela ne fis rien comme ci une mouche m'avait frôler mais quelques gouttes d'eau tombèrent de l'arbre. Ce geste était plus qu'outrageant. Je remis une mèche de mes cheveux en place d'un revers de main bien contrôler. Puis je commençais à le trouver bien triste. Je comprenais que sa vraie nature n'était pas comme ça mais bon c'était surement une façon de se protéger. Je me concentrai une fraction de seconde puis la terre absorba la glace qui me retenait les pieds puis je fus libre même si je n'avais pas besoin de pouvoirs pour m'en sortir. Je me levai et je dis:

Tu as fini? Pourquoi faut-il que tu fasse tout passer par les menaces et la violence?

Je lui avais demander ça avec une douceur qui me surpris mal grès ce qu'il venait de faire. Cela ne m'avais pas fait mal mais je trouvai que c'était un manque de respect qu'en je me souvins qu'il ne connaissais pas mon "métier" alors je repris mon calme intérieur.
Je remis mieux mon chemisier car avec le "choc", on pouvait distinguer mieux mes seins, cela ne me gênais pas plus que ça, mais c'était mieux pour mon image même si je m'en moquais pas mal. Le vent fis voler mes cheveux argentés et plutôt long et à cause, de la distance qui était très courte, ces derniers lui touchèrent le visage.